Reprendre ou commencer le sport, les erreurs à ne pas faire

Perdre quelques kilos avant l’été, problèmes de santé liés à un excès de poids, envie de tonifier votre corps, ou plus simplement une volonté de reprendre le sport pour améliorer votre bien-être quotidien, quelle qu’en soit la raison, commencer (ou se remettre) la pratique d’une activité sportive ne s’improvise pas.

En effet, les risques de blessures sont d’autant plus importants lorsque le corps n’a pas, ou plus, l’habitude de faire du sport.

Pour vous aider dans votre nouvelle résolution, voici nos conseils et surtout un point sur les erreurs à ne pas faire. 

Se (re)mettre au sport : le choix des sports à pratiquer

La pratique d’un sport doit être un moment de plaisir. C’est pour cette raison qu’il convient de choisir une activité physique qui vous plaît. En effet, il sera bien plus difficile de commencer votre séance, et surtout de tenir dans le temps, si vous optez pour un sport, certes efficace pour l’atteinte de vos objectifs, mais qui relève davantage d’un supplice pour vous.

Vous êtes plutôt de nature « cardio » (endurance), le vélo, la natation, la course à pied ou encore un entraînement HIIT (High Intensive Interval Training) sont des sports à envisager.

Si vous préférez les sports de résistance, la musculation est une des activités les plus complètes pour muscler tout le corps.

Se (re)mettre au sport : attention aux objectifs inatteignables

Avoir de l’ambition c’est bien, mais il ne faut pas brûler les étapes au risque de vous blesser, d’une part, et de vous dégouter à tout jamais du sport. Commencer ou reprendre une activité sportive doit être fait de manière progressive et adaptée à votre condition physique. Les objectifs visés doivent donc être réalistes.

Si vous ne savez pas comment vous y prendre, il est recommandé d’en parler à votre médecin traitant ou à un coach sportif.

Se (re)mettre au sport : attention aux mauvaises pratiques

Les erreurs lorsque l’on débute en sport sont fréquentes et peuvent parfois être contre-productives, voire dangereuses.

  1. Ne pas s’échauffer est une pratique malheureusement trop courante et pourtant l’échauffement est indispensable pour mettre le corps en condition, surtout lorsque l’on reprend une activité physique.
  2. Se surentrainer pour atteindre ses objectifs plus vite ou pour avoir bonne conscience est la meilleure façon de se blesser, car le corps n’y est pas prêt, et de perdre toute votre motivation. D’autant plus qu’un surentraînement n’est pas tenable dans le temps.
  3. Pratiquer que des exercices de cardio-training est une erreur courante dans une quête de perte de poids. Pourtant le renforcement musculaire est indispensable pour y parvenir, mais aussi pour être en bonne santé.

Nos conseils pour rédiger un avis de décès

La publication d’un avis de décès, également appelé annonce nécrologique, est une démarche courante chez les familles qui ont perdu un être cher. Rédigé par la famille elle-même ou par les services de pompes funèbres, l’objectif de l’avis de décès est d’annoncer le décès au plus grand nombre.

Vous avez décidé de vous charger personnellement de la rédaction de l’avis de décès d’une personne proche. Bien que la rédaction du texte ne soit pas très compliquée puisqu’aucun formalisme n’est exigé, voici cependant quelques conseils pour vous y aider.

Les différents types d’avis de décès

Tout d’abord, il faut savoir qu’il existe en réalité plusieurs types d’avis de décès, même si en pratique, l’ensemble des informations figurent au sein d’un même document :

  • l’avis de décès informatif, il annonce seulement du décès et éventuellement du lieu où reposera le défunt ;
  • l’avis d’obsèques, il informe du décès ainsi que des informations relatives aux funérailles afin d’inviter qui le souhaite à participer aux funérailles ;
  • l’avis de messe, il communique sur la célébration d’une messe en la mémoire du défunt qui a généralement lieu avant les obsèques.

La mise en page de l’avis de décès

Bien qu’aucun formalisme ne soit exigé en France, la rédaction d’un avis de décès est toutefois codifiée. Cela a pour objectif de faciliter l’accès à l’information. Cette mise en page est définie par chaque journal en fonction de la charte de sa ligne éditoriale.

Le contenu de l’avis de décès

L’avis de décès doit contenir certaines informations indispensables selon l’objectif que la famille lui attribue : 

  • la présentation succincte de la famille qui annonce le décès (nom du parent et lien de parenté) ;
  • une phrase introduisant l’annonce du décès et le nom du défunt ;
  • les informations liées au décès (date, lieu, heure et cause) ;
  • les informations liées à la cérémonie funéraire : lieu, date, cérémonie civile ou religieuse, type de funérailles (inhumation ou crémation) et accessibilité (cérémonie ouverte à tous ou célébrée dans l’intimité familiale) ;
  • une adresse postale de retour pour l’envoi de fleurs ou des condoléances.

La publication de l’avis de décès

L’avis de décès est à publier dans un journal papier ou numérique à l’échelle locale, régionale ou nationale. Mais, si vous souhaitez toucher un plus grand nombre de personnes, sachez que les entreprises et les associations peuvent également diffuser l’avis de décès afin d’informer la communauté professionnelle ou associative du défunt.